La théorie du contrôle apporte de nouvelles perspectives à l’intelligence artificielle. Et ce, notamment en développant un « nouveau » concept chez le robot : la curiosité.
Les robots intelligents s’inspirent des schémas de fonctionnement du cerveau humain. Et quand les théories de la neuroscience – ici, le connexionisme est remis en cause – évoluent, la robotique aussi. Cette théorie repose sur l’idée que l’intelligence n’est pas un processus linéaire, mais consiste en un ensemble de petits processus simples reliés entre eux : pour simplifier c’est la connexion entre les neurones qui serait à la base de l’intelligence. Notre cerveau créerait cette architecture au fur et à mesure de l’apprentissage. C’est ici qu’intervient la théorie du contrôle, soutenue par Asim Roy : il y aurait d’autres parties du cerveau, des contrôleurs, qui régiraient ce réseau de neurones. C’est le concept défendu dans la publication de « Connectionism, Controllers and a Brain Theory » par ce professeur à la W. P. Carey School of Business. » Selon la théorie du contrôle, si j’apprends à jouer aux échecs, une partie de mon cerveau m’y aide« , Axel Buendia, docteur en Intelligence Artificielle et dirigeant de la société Spirops.
Plus d’informations sur l’apprentissage des robots hors des règles établies dans la suite ….
Lire la suite »